La fête peut être une action

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À ma connaissance, dans la plupart des cultures qui habitent sur cette terre, le calendrier (quand il y en a un) est parsemé de dates importantes.

On se réunit, on chante, on mange, on danse, on décore les rues et les intérieurs, ou bien encore on pratique certains « rituels » comme la chasse aux oeufs de Pâques, la requête des bonbons pour Halloween ou la distribution des cadeaux de Noël.

Qu’on en comprenne leur sens profond, (ou bien même leur origine) ou bien qu’on en ait aucune idée, la fête va avoir lieu quelque part, les médias en parleront, et des gens alimenteront cette habitude.

Ces personnes deviennent donc des acteurs. Elles veulent marquer le coup et favoriser la joie durant cette période. Mais une grande partie de la population se laisse porter par le mouvement collectif c’est surtout pour elle l’occasion d’en profiter.

Mais pourquoi attendre une occasion calendaire pour faire la fête ? Nous pourrions fêter chacune de nos avancées personnelles et leur donner un sens qui nous inspirera plus que certaines fêtes qui deviennent de plus en plus commerciales et perdent leur élan originel.

Et puis cela réconcilierait les deux images qu’on oppose habituellement sur ce sujet, à savoir le comportement des « fêtards » et de ceux qui se consacrent au travail, alors qu’une fête est souvent l’occasion de se réjouir d’un progrès individuel et/ou collectif, qui a nécessité des efforts et des sacrifices.

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